J’ai encore quelques glaïeuls retardataires. Mes glaïeuls ont donné des fleurs de mi-juillet à début septembre. Ce n’est pas si mal.
J’entends que beaucoup se plaignent de l’inhestétique de cette plante qui, c’est vrai est assez rigide et se met souvent à verser en tous sens en cas de grand vent ou de fortes pluies. On lui reproche aussi son peu de durée. Pour améliorer, on peut planter à la base des fleurs plus basses : zinnias, reine-marguerites, œillets d’Inde, etc.
Le glaïeul est ce que j’appelle une fleur « feux d’artifice » : c’est merveilleux mais ça ne dure pas. Il faut être là au bon moment pour en profiter le mieux. C’est dans cette idée que l’on peut le mieux l’apprécier.
Du glaïeul, il faut admirer l’éclat de ses couleurs qui sont toujours très vives et très variées. Pour moi, c’est un enchantement qui vaut bien les désagréments collatéraux.