Des plantes dites « alpines » peuvent faire de très beaux assemblages malgré leur petite taille.

Des plantes dites « alpines » peuvent faire de très beaux assemblages malgré leur petite taille.
Mon nénuphar a produit bien plus de feuilles que de fleurs. C’est un plant de cette année, et j’ai peut-être forcé sur l’engrais.
Une seule feuille de crassule suffit à générer un nouveau plant. C’est le miracle de la multiplication des crassules. Il faut quand même avoir le temps, ça prend près de 6 semaines. La couleur bleue/rose est celle de la lampe de croissance.
Le givre fait apparaître tout l’intérêt des graminées en hiver.
J’ai divisé mon calathéa crocata en 5 plants séparés. ils sont maintenant en intérieur à +/- 15 °C. Ces plantes sont sensibles à la pourriture des racines encas d’excès d’eau dans le substrat. Je vais plutôt brumiser les feuilles régulièrement (tous le 2 à 3 jours).
Mes ellébores sont en bouton. Il était donc temps d’enlever les feuilles de l’année dernière qui auraient plus ou moins étouffé les nouvelles fleurs. Les anciennes feuilles finiront au compost.
Une de mes heuchères change de couleur à la reprise de végétation. Elle est en intérieur avec plutôt peu de lumière, c’est peut être la raison. Ou bien les nouvelles feuilles fonceront naturellement avec l’âge.
Voilà une plante alpine qui est d’un beau blanc argenté tout au long de la belle saison, et qui vire vers un joli rouge léger en hiver. Les plantes alpines permettent de réaliser de jolis ensembles, bien que le plus souvent discrets.
Après presque 3 mois, je désespérais de voir ma deuxième bouture de dracaena produire quelque chose. Mais voilà une petite pousse qui commence au niveau des racines. espérons que ça se maintiendra.
Les plants de gerbéra que j’avais constitués l’automne dernier à partir de la division d’un plant existant commencent à sortir soit des feuilles, soit des boutons floraux. Pour le moment, il y a 6 plants qui s’éveillent sur les 8 constitués au départ. Tout ça a passé l’hiver dans la serre froide sans chauffage, avec quelques nuits de gel à – 5°C. Apparemment, les gerbéras sont plus rustiques qu’on imagine parfois.